Depuis plusieurs jours, les directeurs de l’AGIRC ARRCO et de l’URSSAF jouent un combat de boxe. Le sujet : la récupération de la fiabilisation des droits dans le recouvrement des cotisations retraite complémentaire. La CFDT dénonce une surenchère dans laquelle les salariés sont oubliés.
SECTION SYNDICALE AG2R
S'ENGAGER POUR CHACUN, AGIR POUR TOUS
article top !
Excellent article! D’autant que la cour des comptes n’a pas certifié pour la 2ème année consécutive les comptes de la branche recouvrement des URSSAF, contrairement à l’AGIRC ARRCO.
Cette épée de Damoclès sur la tête des équipes empêche d’avoir une réelle visibilité sur un avenir proche…arrêtez cette guerre de com et d’égo et laissez travailler aussi sereinement que possible les équipes !
Incroyable, ils ne cachent même plus : rien à faire de l’humain !
Votre article parle de la fiabilisation des données DSN. Or il est question du transfert du recouvrement qui n’est pas la même chose. En tout cas, à aujourd’hui.
Quoi qu’il en soit, nous, salariés SE des GPS, sommes trop mis de côté.
J’espère que nous serons également soutenus par les syndicats
Et dans le même temps la direction retraite suspend la mobilité du personnel des SE (en toute discrétion) et ce même pour ceux qui étaient arrivés en fin de process de recrutement.
La gestion de l’humain au top chez AG2R.
Et oui ça c’est le double discours et le courage de la Direction : même pas capable d’assumer, expliquer et communiquer ce blocage des mobilités et on va nous vendre encore qu’il faut prendre “la main sur demain”, être pro-actif sur notre avenir et autres phrases de management de comptoir, vides de sens.
A part côté syndical 😉 personne ne croit plus une seule seconde au moindre propos ou écrit de la Direction, RH etc. Les gens viennent prendre leur salaire et basta. Plus aucun intérêt pour le boulot, encore moins d’envie de se défoncer pour la boîte, vu que la boite ch….. sur ces salariés à longueur de temps. La grande démission c’est aussi chez AG2R, à laquelle il faut ajouter les départs en retraite, une hécatombe là aussi.