Le 4 janvier s’est déroulée ce qui devait être la première “vraie” réunion de négociations NAO pour 2023. En synthèse : 2% d’augmentation collective pour un tiers des salariés, 1,8% pour un autre tiers et zéro pour le dernier tiers.
Rappelons le contexte
En 2022, la revalorisation générale des salaires a été de 1,2% pour les seules rémunérations annuelles inférieures à 35 000 euros. Donc deux tiers des salariés de l’UES AG2R ont été privés de toute augmentation collective.
En parallèle, l’inflation a grimpé à plus de 6% sur un an et les prévisions la chiffrent à 7% pour 2023.
Les revendications de l’intersyndicale :
Dans un premier temps la CFDT, la CGC, la CGT, FO, l’UNSA et SUD ont revendiqué 5% d’augmentation générale à effet du 1er juillet 2022 et un rattrapage du différentiel entre ces 5% et l’inflation au 1er janvier 2023.
Devant le refus de la direction, l’intersyndicale avait formulé une nouvelle demande : une prime exceptionnelle pour tous de 1500 euros pour compenser la perte de pouvoir d’achat de 2022.
Nouveau refus de la direction.
Les NAO 2023 :
Les négociations 2023 se sont donc ouvertes avec ce double enjeu, compenser la perte de pouvoir d’achat des salariés de 6,2% l’année dernière et anticiper une inflation estimée à 7% pour 2023.
Compte tenu du contexte économique difficile de l’entreprise, les revendications CFDT se voulaient responsables
L’objectif de la direction en dépit d’un teasing auprès des élus laissant supposer une enveloppe NAO 2023 exceptionnelle s’est avéré tout autre : au prétexte d’économies indispensables à réaliser sur la masse salariale, elle formule une proposition qui va en réalité diminuer le pouvoir d’achat des salariés, à savoir :
- une augmentation collective de 2% du salaire de base pour les rémunérations annuelles inférieures à 35 000 € (après 18 mois d’ancienneté).
1511 salariés seraient concernés, soit 29% de l’effectif. - une augmentation de 1,8% pour les rémunérations annuelles supérieures 35 000 euros et inférieures à 45 000€ (après 18 mois d’ancienneté).
1987 salariés seraient concernés, soit 38% de l’effectif. - rien pour les rémunérations supérieures à 45 000 euros, soit 33% de l’effectif,
- une revalorisation des titres restaurant de 8,81€ à 9,87€ prise en charge par l’employeur. La participation de l’employeur sur les repas en RIE ne serait pas concernée, malgré une augmentation des tarifs pratiqués,
- une revalorisation de l’indemnité télétravail qui passerait de 2 € par jour à 2€50,
- une prime pour le pouvoir d’achat (PPV) de 500 € pour les salaires inférieurs à 3 SMIC (donc nette car non chargée et non imposable) et une prime brute imposable de 500 € pour les salaires supérieurs à 3 SMIC.
Pour la CFDT, les propositions de la direction sont inacceptables en l’état.
- On ne peut pas accepter qu’un tiers des salariés ne bénéficie d’aucune augmentation collective.
- On ne peut accepter que les augmentations se situent entre 1,8% et 2 alors que l’inflation est à 6,2%
- On ne peut accepter que sur le budget global les augmentations collectives ne représentent que 0,68% de la masse salariale, et soient largement derrière les augmentations individuelles qui représentent 1,03% et la prime collective non récurrente qui représente 1,1%.
La CFDT a donc revendiqué:
- que l’enveloppe globale soit augmentée pour tenir compte de la promesse de Bruno Angles de consacrer un budget “exceptionnel” aux NAO 2023,
- que les augmentations collectives soient priorisées par rapport aux augmentations individuelles,
- que les augmentations collectives soient identiques pour tous les salariés,
- que la prime collective, non récurrente, soit abandonnée au profit d’augmentations collectives pérennes,
- que le budget consacré aux seules augmentations collectives se situe à 5%.
La direction a refusé de discuter d’une augmentation de l’enveloppe globale, ne proposant que de débattre de la répartition des budgets au sein de cette enveloppe.
Face à cette intransigeance, la CFDT, la CGT, l’UNSA et SUD ont quitté la réunion.
Une seconde réunion de négociations doit se dérouler le 11 janvier.
Cela fait 3 ans que les + de 45.000 € n’ont plus d’augmentation générales. Trois fois rien c’est toujours mieux que rien. Snifff
J’espère que les toutes les OS vont faire chaise vide le 11 janvier !!!
Une action de grève bien organisé (motivation des salariés à y participer, regroupement près du siège parisien et des gros sites provinciaux, venue des médias) avant le 11 janvier ou pendant la négociation serait peut être un encouragement à un changement d’avis de M. Angles
comment conjuguer cet engagement si cher à la Direction alors que cette dernière justement ne s’engage pas … la motivation des salaries va de nouveau en pâtir !
existe t il un mot plus fort que désespérent ?? Gros foutage de gueule… et combien pour nos chers directeurs de ALM EXECUTIVE ???
Bonjour et bravo pour ce refus de participer à des “négociations” qui n’en sont pas et avoir agi de concert avec les autres syndicats. Le mépris de la direction est à peine croyable!
Et malgré tout, les salariés râlent mais ne bougent pas un orteil à part quelques 1000 salariés lors de la dernière greve, autant dire insignifiant, sauf qu’on obtiendra rien sans rien, faut accepter de perdre un peu pour gagner beaucoup et malheureusement trop peu de salariés sont prêts à le faire, du coup que proposez vous pour faire bouger les choses?
Suite aux remontées des salariés auprès de Pascale SOYEUX, et notamment à celle sur les salaires, Bruno ANGLES a répondu ne pas être autiste…
On se demande des fois.
Si ce n’et pas se foutre du monde.
Il faut vraiment que l’ensemble des salariés se mobilisent à faire grève. Nous ne pouvons pas continuer à nous faire exploiter.
Inamissible de la part du 2ème groupe de protection sociale de la Retraite Complémentaire; Alors que de grandes d’entreprises pour 2023 font des efforts importants pour les augmentations de salaire, même le 1er groupe de protection sociale !
Tout les salariés font des efforts pour temporiser les problèmes importants auprès des clients ALM.
Il est grand temps de se positionner vis à vis de la direction ALM.
Les administrateurs de notre groupe devraient être solliciter pour nous aider.
les mesures d’économie ont été approuvés à L’UNANIMITE par eux !
Il faudrait bloquer l’activité au minimum une journée sinon plus !
La grève du zèle…
Ce mépris invraisemblable de cette direction, et qui lâche à tout bout de champs de grands slogans je cite “on lâche rien”!
Comment ils peuvent espérer que les salariés s’investissent quand vous leurs donnés des cacahuètes ça devient une parodie…..
Le pansement qui nous est tendu est clairement insuffisant pour faire face à la paupérisation sans cesse aggravée des salariés de notre entreprise, qui voient quotidiennement leur reste-à-vivre un peu plus gangréné par une inflation qui devient colossale. Cette inflation est particulièrement concentrée sur les produits alimentaires (12%) ainsi que l’explosion des dépenses énergétiques (15% d’augmentation au tarif réglementé). Forcément, avec 2% d’augmentation pour y faire face, le quotidien des salariés promettrait d’être rude pour 2023 …
Je crois comprendre que des syndicats sont restés à parler avec la direction. Ils défendent leur propres intérêts et pas les nôtres. On s’en souviendra. Je ne sais pas si les syndicats vont appeler à grever. Les salariés d’un site peuvent-ils se mettre en grève si les syndicats ne le fond pas pour dire à la direction qu’on n’en peu plus ?
Les salariés doivent avoir la volonté commune de cesser le travail pour appuyer leurs revendications professionnelles.
A la différence du secteur public, la grève ne doit pas obligatoirement être déclenchée par l’appel d’un syndicat dans le secteur privé.
Les revendications invoquées doivent avoir un caractère professionnel et intéresser les salariés qui participent au mouvement.
En revanche, la grève suppose une cessation complète du travail.
Ainsi, les mouvements suivants, qui n’entrainent pas un arrêt total du travail, sont illicites et ne peuvent pas être qualifiés de grève.
Est ce que cette fois on va savoir manifester avant la fin des négos ?
Ca suffit ! A quand une grève organisée ?
Cette nouvelle Direction est une honte ! Comment peut-on maltraiter ses propres salariés à ce point ?!?
Ils ne plieront jamais sans une grève dure de plusieurs jours. Et pas une demi-journée comme la dernière fois. “Si vous croyez que vous nous faites peur avec votre grève”, comme aurait dit notre DRH, élue DRH de l’année 2022. On se demande sur quels critères a eu lieu cette mascarade !
FAISONS GREVE RAPIDEMENT ! Les autres grandes entreprises ont obtenu des augmentations significatives en utilisant cette voie. TOTAL, SNCF, etc.
Les mercis ne remplissent pas les caddies.
Combien gagne un membre du COMEX du groupe ? Comment un dirigeant peut-il parler légitimement d’effort à faire sur les frais de personnel quand il gagne à lui tout seul sur une année presque la totalité de l’enveloppe des augmentations collectives de 6000 salariés ?
pour qu’une grève puisse faire plier la direction, il faudrait plusieurs jours de débrayage et donc une perte de salaire trop importante pour les salariés. Et si on inventait d’autres formes de contestation ? Si par exemple tous les salariés se mettaient d’accord pour pourrir la boite mail de Bruno Angles de messages de protestation ?
Face au mépris de la direction ce n’était que la moindre des choses à faire.
Par contre il aurait peut-être été honnête de signaler que c’est Sud suivi de la Cgt qui ont quitté les premiers la réunion
Ce genre de commentaire fait le jeu de la direction, pas étonnant qu’on n’arrive à rien. Si des sympathisants d’autres syndicats s’amusent à tirer sur un autre, c’est sûr qu’on va s’en sortir ! C’est uni qu’on réussira mais non pour certains c’est qui p… le plus loin qui est important
je ne pense pas que l’on classe la force d’une organisation syndicale au fait que ce soit unetelle ou unetelle qui a quitté en 1er la réunion. C’est surtout dans l’unité syndicale et dans la capacité des uns et des autres de s’entendre et ce malgré parfois des approches différentes. Le tout avec comme objectif l’intérêt des salariés. L’intersyndicale dans l’UES n’a jusqu’à ce jour pas trop mal fonctionné même si sur le sujet salaires reconnaissons que le compte n’y est pas… Ceci dit ne faisons pas le jeu de la direction car si elle lit votre commentaire elle doit bien se pouffer !!!
Je gagne environ 1600 euros par mois. Je paye un loyer qui me prend la moitié de mon salaire. Comment puis-je perdre du salaire dans une grève ? Avec quoi vais-je boucler ma fin de mois ? Ce sont les salariés comme moi qui ont le plus à gagner dans une grève réussie, mais aussi ceux qui ont le plus à perdre dans une grève qui n’aboutirait pas. Ce sont toujours les mêmes qui subissent, les gagne petit.
Toujours les mêmes qui doivent faire les efforts!
Bonjour, merci pour la rapidité de ce compte rendu. J’ai une question concernant la revalorisation de la prime d’ancienneté qui suit celle de la RMMG 1A. Savez-vous si la 1A sera portée au SMIC cette année comme en 2022 svp ? Par avance, merci.
Les négociations de branche sont en cours et pas encore conclues. Dans ses simulations, la direction a, par contre, intégré une évolution de 7% de la RMMG 1A. Ce scénario nous semble optimiste.
C’est bientôt les entretiens annuels. Une bonne occasion de faire remonter notre colère ! Je propose la grève des objectifs : lors de cet entretien, précisez bien que tant que la Direction n’est pas en mesure de garantir notre pouvoir d’achat, vous ne vous engagez sur aucun objectif. C’est ce que je dirai. De toutes les façons à quoi bon tenir ses objectifs, vu que ça n’a aucune conséquence sur nos augmentations individuelles (y’en a pas), ou collectives (y’en a pas non plus, ou alors 3 fois plus faibles que l’inflation !).
Bonjour, la Direction a t-elle précisé la date d’effet de ses propositions svp ? Merci beaucoup.
Effet au 1er avril pour les augmentations collectives et individuelles. Par de précision sur la date de versement de la prime exceptionnelle par contre
Paroles, paroles.. La direction se fiche complètement de nous ! Ils distribuent des miettes.. Il faut absolument se mobiliser et taper fort !
Bonjour,
Sans être moi-même d’accord avec les propositions de la direction, j’ai du mal à comprendre comment ces propositions peuvent amener à une baisse du pouvoir d’achat des salariés, ainsi que vous l’indiquez.
Pouvez-vous éclairer ma lanterne ?
La baisse du pouvoir d’achat est provoquée par l’inflation. Les derniers chiffres de 2022 montrent 6,2% de perte (notons que les prix de l’alimentaire ont subi une augmentation entre 12 et 15%). Si les augmentations salariales sont inférieures à l’inflation, c’est là que les propositions de l’employeur provoquent une baisse du pouvoir d’achat (exemple 6,2% d’inflation – 2% d’augmentation salariale = 4,2% de perte de pouvoir d’achat).
Nous sommes d’accord que la baisse du pouvoir d’achat est provoquée par l’inflation. Une augmentation salariale vient diminuer la perte de pouvoir d’achat mais ne vient pas l’augmenter. C’est une question de sémantique j’en conviens, mais je trouve votre raccourci un peu rapide 😉
La DG ALM ne semble pas concevoir qu’elle est constituée d’un ensemble.
Une partie de ce collectif tente d’ailleurs de gérer avec des outils de travail inadaptés et instables, l’assurance d’un bon ombre de PersonneS assurés par une IP en redressement.
Si notre DG ne “lâche” rien, je sens que moi, je vais tout lâcher, replier les bras et reposer ma tête ! En entretien, on nous dit qu’il faut qu’on multiplie les activités …Eh bien non ! C’est une vraie honte pour tous les salariés du groupe !
Faisons grève massivement une bonne fois pour toute, et montrons à notre direction que sans nos petites mains, AG2R n’est rien….Consentir à perdre un peu, pour gagner plus demain.
Il y a trop d’années que nous n’avons que des compliments, mais ces belles paroles ne nous permettent plus de survivre.
Tout d’abord je tiens à m’excuser pour l’anonymat qui j’en suis consciente nuit à l’impact du propos. Je ne vous cache pas que je ne suis pas syndicats et certainement un peu trop direction parce que mon travail me plait. Je ne rejoins pas tous les commentaires de votre forum et pour autant, cette fois, je me retrouve dans beaucoup d’entre eux. Je suis parfaitement consciente des difficultés que traverse le groupe, mais je ne peux souscrire à l’aveuglement de la direction générale. Nous faisons des efforts depuis tant d’année. Mes équipes sont engagées à chaque instant et j’en suis fière. Il est inadmissible que des collaborateurs qui aiment le groupe sont poussés à le quitter faute de reconnaissance. La violence des propositions de la direction générale conduit au désespoir qui lui même risque d’entrainer des comportements dangereux. Avec la valse des départs, le COMADIR est tétanisé et ne joue plus son rôle d’alerte. Attention mesdames et messieurs du CDG, allez vous sourcer au plus prêt du terrain !
Bonjour, en ce qui me concerne j’hésitais à démissionner depuis quelques mois (je suis employé LM Groupe depuis une dizaine d’années), mais en voyant ces premières propositions je n’ai plus de doute !
Entièrement d’accord, il faut maintenant rentrer dans un mouvement de grève plus durable et plus intense. Enfin, il ne faut pas oublier que la dernière journée de mobilisation était pendant des vacances scolaires et par conséquent pas représentatif de notre mécontentement.
Pourquoi ne pas proposer un montant d’augmentation minimum en euros pour tous au lieu d’une augmentation en pourcentage ? Cela a déjà eu lieu par le passé.
C’est en effet un axe de reflexion: x% d’augmentation x PMSS par exemple pour l’ensemble du personnel.
Le sujet prioritaire est le montant global de l’enveloppe collective, suivi par les modalités de répartition qui ne doiventt cette année exclure aucun salarié.
Inacceptable ! Pourquoi ne pas faire un débrayage de 2 jours ou plus à cheval sur 2 mois ce qui minimiserait l’impact financier du salarié ?
Augmentation des retraites de 5,2%
Pour nous les salariés le compte n’y est pas ..
Cela fait des années que je n’ai ni augmentation individuelle, ni prime. Oh mon travail est qualitatif et au dessus de l’attendu mais il y a toujours une bonne excuse. Désormais je pratique donc le quiet quitting, je fais le minimum qui est attendu de moi, je ne mérite rien niveau augmentation, je ne donne donc rien de plus que ce que mon contrat exige à mon employeur. Je fais ce qu’on me dit de faire sans proposer aucune action d’amélioration, même si mes consignes sont mauvaises, puisqu’on ne m’écoute jamais. J’ai priorisé ma santé qui s’est détériorée à force de subir et ma famille. Notre groupe a décidé de se saborder en écoeurant ses salariés, je n’y suis pour rien. Tant pis pour eux.
Et on appelle ça un Groupe de Protection Sociale d’une tristesse sans nom.
ça fait mal au cœur tout ce mal être des collègues à travers ces témoignages.
La direction s’en moque honte à eux.
La honte!!!! Fallait bien s’y attendre!!! Si peu de considération! Sans surprise donc de la part de cette direction !!!
Mais suis démotivé à un point …faire son taff au juste prix !!! Rien de plus! …
Le désengagement des salariés est relatif, mais le mépris de la direction est absolu.
La direction générale diffuse, à priori, des informations aux directeurs sur des augmentations générales de 3%. Pourquoi cette différence avec vos propres informations ?
voilà juste ce que l’on peut en dire.
Malheureusement, la messe semble dite pour AG2R prévoyance. Des années de déficit, un redressement plus difficile que prévu (sinon impossible) et des actionnaires de LM ne souhaitant plus combler. C’est l’échec majeur de toute l’ancienne gouvernance qui n’a jamais cherché à rationaliser, rentabiliser et in fine rendre viable l’ensemble. La situation est insoluble et les seuls à payer seront les salariés.
La voie est sans issue aucune : comment augmenter tout le monde alors que les comptes sont négatifs et que l’ACPR nous colle au train…
Précisions : il n’y a pas d’actionnaires à LM (Société d’assurance à forme mutuelle), ce sont des sociétaires…
Ce qui est affolant, c’est que nous sommes pressurisés, non reconnus et on nous en demande toujours plus. Mais comment imaginer redresser le groupe alors que certains responsables à haut niveau de cette situation sont encore là ?! Sérieusement, ça reste des êtres humains fait d’orgueil hein ! Ils vont pas reconnaitre qu’ils ont échoué et ne vont surtout pas tout défaire. Ils préfèreront jouer leur jeu de pouvoir jusqu’au bout, être toujours dans la partie de théâtre, bénéficier de leur retraite chapeau douillette… quitte à ce qu’on doive, nous, pointer à Pole Emploi. Comme disait un politique “on va droit dans le mur mais en klaxonnant” !