Des aides pour les pauvres et des contreparties pour celles accordées aux entreprises.

Christophe Robert, de la Fondation Abbé Pierre, et Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, interpellent l’État. Avec la crise, le nombre de travailleurs précaires au RSA grimpe. Le gouvernement continue d’aider massivement les entreprises sans contrepartie.

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Dartagnan
Dartagnan
4 années il y a

Un article qui reprend la litanie des défenseurs des plus pauvres. Un étudiant sans ressource peut-il bien préparer ses examens s’il est constamment à la recherche d’un petit boulot pour payer son loyer ? On a l’impression que les gouvernements successifs ignorent totalement cette population qui va s’accroître du fait de la pandémie. Il y a de plus en plus de salariés pauvres qui dorment dans leur voiture car leur revenus sont légèrement supérieurs aux minima sociaux, sans compter les familles monoparentales laissées à leurs problèmes d’hébergement… Quel avenir pour ces jeunes ? Une meilleure répartition des richesses s’impose. L’histoire a toujours montré que les crises de quelque origine que ce soit impactent en premier les moins bien protégés, entraînant de facto une sorte de caste dont il est extrêmement difficile d’en sortir.