Le 20 janvier se déroulera une réunion de l’observatoire des métiers. L’ordre du jour : la sous-traitance. Vous trouverez ci-dessous le document de présentation.
En résumé :
Cadre de la sous-traitance
La sous-traitance se décline en trois catégories principales :
- Renfort opérationnel/sous-traitance de capacité : pour gérer les fluctuations d’activité et assurer la continuité de service
- Services non-cœur de métier/sous-traitance de spécialité : pour les activités nécessitant des équipements spécifiques
- Gestion d’activités non pérennes/sous-traitance de marché : pour les opérations spéciales et temporaires
Directions concernées
Six directions principales sont impliquées :
- Direction Distribution Omnicanale et Relation Client : gestion des centres d’appels et relations clients
- Direction Santé Prévoyance et Retraite Complémentaire : traitement administratif et gestion des dossiers
- Direction Épargne Retraite et Patrimoniale : gestion des opérations financières et patrimoniales
- Direction Logistique Achats et Immobilier d’Exploitation : services généraux et gestion immobilière
- Direction des Systèmes d’Information et Digital : maintenance applicative, help desk et supervision
Points clés
- Le recours à la sous-traitance reste concentré sur des activités de gestion, relation client, support informatique et services généraux
- Le renfort opérationnel est le principal motif de sous-traitance pour gérer les fluctuations d’activité
- Pour 2025, les montants budgétaires prévus sont globalement stables
- L’amélioration de la satisfaction client et l’optimisation des budgets sont des priorités pour 2025-2026
Organisation et suivi
La gestion de la sous-traitance s’articule autour de trois phases :
- Identification et contractualisation via des processus d’appel d’offres
- Suivi régulier de la relation avec les sous-traitants (qualité, budget, performance)
- Gestion de la fin de relation avec bilan et planning de fin d’activité